Science qui étudie l'origine des mots. (source :Larrouse )
Blog de tahiry777 (le petit Bouddha)
Description :
Blog Dénonçant la société de consommation sous forme de "fanzine" qui a pour but d 'informer et d'instruire ( modestement ) , avec plusieurs
catégories :
Le mot du jour , traduction de musique Animeaux ,Video d'actu ,insolite ou politique ,documentaire , film ,art , articles de presse ....Je remix un article de mes amis par jour .
Entrecoupé d'une série de 3 musiques par jour :
ancien Dj et Producteur dans un label de musique , j'ai une connaissance assez approfondit de la musique ,sous toutes ces formes , de la Bosa nova , en passant par la varieté Française ,du Rap au Folk , de la Soul au Rnb , le blues , le Rock , le Metal , le Reggae ...et j'en passe !:)
Les sources des définitions sont toutes issue du Larousse _
Les Articles sont relayé sans l accord des protagonistes_
Les films et documentaires sont vivement conseillé pour comprendre l'empire , certains films ont de tres beau messages tous en relation avec une bonne parti du blog _
Je ne suis qu'un passionné de la vérité , je n'ai fais aucunes études spécifiques dans le domaine de la sociologie ,ésotérique ou politique_
Bonne visite sur mon blog et n'hésitez pas a laisser des traces de votre passages :)
Science qui étudie l'origine des mots. (source :Larrouse )
pattybijoux, Posté le lundi 04 mai 2015 05:41
Bacchus
Viens, ô divin Bacchus, ô jeune Thyonée,
Ô Dionyse, Évan, Iacchus et Lénée ;
Viens, tel que tu parus aux déserts de Naxos,
Quand ta voix rassurait la fille de Minos.
Le superbe éléphant, en proie à ta victoire,
Avait de ses débris formé ton char d’ivoire.
De pampres, de raisins mollement enchaîné,
Le tigre aux lares flancs de taches sillonné,
Et le lynx étoilé, la panthère sauvage,
Promenaient avec toi ta cour sur ce rivage.
L’or reluisait partout aux axes de tes chars.
Les Ménades couraient en longs cheveux épars
Et chantaient Évius, Bacchus et Thyonée,
Et Dionyse, Évan, Iacchus et Lénée,
Et tout ce que pour toi la Grèce eut de beaux noms.
Et la voix des rochers répétait leurs chansons ;
Et le rauque tambour, les sonores cymbales,
Les hautbois tortueux, et les doubles crotales
Qu’agitaient en dansant sur ton bruyant chemin
Le faune, le satyre et le jeune sylvain,
Au hasard attroupés autour du vieux Silène,
Qui, sa coupe à la main, de la rive indienne,
Toujours ivre, toujours débile, chancelant,
Pas à pas cheminait sur son âne indolent.